Guillaume Mainardis

S’il devait incarner un personnage de conte populaire, ce serait celui du Petit Poucet, car il ne s’est pas laissé abattre face à l’adversité et la galère des débuts où il ne trouvait pas de poste salarié.

Confiant et avec une touche de culot, il a arrêté d’envoyer ses CV au hasard et a choisi une voie plus directe en se présentant directement dans une grande agence toulousaine. Une semaine après, il était contacté pour une première mission.

Le choix du freelance

En tant que graphiste freelance, il déplore les délais courts pour mener un projet, les contraintes de budgets et le manque de temps, mais la transition vers le monde du travail a été simple car « il n’y a pas de profond décalage entre les études à l’ESMA et le monde de l’entreprise parce que nos professeurs sont eux-mêmes des professionnels ! ».